Orphée et Eurydice .Opéra comique 2018
Avec une brillante mise en scène, le scénographe Aurélien Bory sublime le plus célèbre des opéras de Gluck revisité par Berlioz. Un spectacle magique !
Désespéré, Orphée pleure la mort de son épouse Eurydice. Compatissant à son immense chagrin, les dieux l'autorisent à descendre aux enfers pour aller rechercher sa bien-aimée. Mais plusieurs conditions lui sont imposées : ne pas lui parler, ne pas croiser son regard.
Intensité émotionnelle
Après Monteverdi et Lully, Gluck s'empare à son tour de la légende d'Orphée, et compose en 1774 ce qui deviendra son opéra le plus célèbre. Pour répondre au souhait de la cantatrice Pauline Viardot d'interpréter le rôle d'Orphée, jusqu'alors dévolu à un haute-contre, Hector Berlioz remanie l'œuvre en 1859 sur le livret traduit en français et augmenté par Pierre-Louis Moline. Grand succès à sa création, la version de Berlioz est montée régulièrement à l'Opéra comique, où cette nouvelle production, présentée à l'automne 2018, a reçu un accueil enthousiaste du public et de la critique grâce à un brelan magique : l'inventif dispositif scénique proposé par Aurélien Bory, l'intensité émotionnelle de ses interprètes – la mezzo-soprano Marianne Crebassa est la voix sublime d'Orphée, Hélène Guilmette celle d'Eurydice et Lea Desandre joue Amour – sans oublier le formidable engagement du chœur et des musiciens de l'Ensemble Pygmalion, dirigé par Raphaël Pichon.
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Avec une brillante mise en scène, le scénographe Aurélien Bory sublime le plus célèbre des opéras de Gluck revisité par Berlioz. Un spectacle magique !
Désespéré, Orphée pleure la mort de son épouse Eurydice. Compatissant à son immense chagrin, les dieux l'autorisent à descendre aux enfers pour aller rechercher sa bien-aimée. Mais plusieurs conditions lui sont imposées : ne pas lui parler, ne pas croiser son regard.
Intensité émotionnelle
Après Monteverdi et Lully, Gluck s'empare à son tour de la légende d'Orphée, et compose en 1774 ce qui deviendra son opéra le plus célèbre. Pour répondre au souhait de la cantatrice Pauline Viardot d'interpréter le rôle d'Orphée, jusqu'alors dévolu à un haute-contre, Hector Berlioz remanie l'œuvre en 1859 sur le livret traduit en français et augmenté par Pierre-Louis Moline. Grand succès à sa création, la version de Berlioz est montée régulièrement à l'Opéra comique, où cette nouvelle production, présentée à l'automne 2018, a reçu un accueil enthousiaste du public et de la critique grâce à un brelan magique : l'inventif dispositif scénique proposé par Aurélien Bory, l'intensité émotionnelle de ses interprètes – la mezzo-soprano Marianne Crebassa est la voix sublime d'Orphée, Hélène Guilmette celle d'Eurydice et Lea Desandre joue Amour – sans oublier le formidable engagement du chœur et des musiciens de l'Ensemble Pygmalion, dirigé par Raphaël Pichon.
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Réalisation :
- François Roussillon
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Avec :
- Marianne Crebassa (Orphée)
- Hélène Guilmette (Eurydice)
- Lea Desandre (Amour)
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Composition :
- Christoph Willibald Gluck
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Mise en scène :
- Aurélien Bory
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Direction musicale :
- Raphaël Pichon
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Orchestre :
- Ensemble Pygmalion
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Choeur :
- Ensemble Pygmalion
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Livret :
- Pierre-Louis Moline
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Scénographie :
- Aurélien Bory, Pierre Dequivre
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Lumière :
- Arno Veyrat
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Pays :
- France
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Année :
- 2018
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